Reportage parmi les soixante bénévoles qui du local situé à Evry Courcouronnes dans la quartier des Epinettes, soutiennent les plus démunis en apportant des aides les plus diverses (alimentaires, vestimentaires, culturelles...) à plus de 700 personnes à écouter en podcast }}}
RADIO EVRY COURCOURONNES - Page 4
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Restaurant du coeur à Evry, reportage parmi les bénévoles
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Manifestation en Essonne contre la réforme libérale des retraites
Ils étaient plusieurs centaines à l'appel des Syndicats à manifester contre la réforme des retraites. Des dizaines de milliers d'Essonniens ont également participer aux différentes manifestations organisées à Paris
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Evry-Courcouronnes : quatre mois que Wissem a disparu et toujours aucune nouvelle
L’adolescente a disparu le 31 juillet alors qu’elle avait quitté son domicile de d’Evry-Courcouronnes pour se rendre à Villabé où elle travaillait.
Samira, la maman de Wissem 16 ans, qui a disparu entre Evry-Courcouronnes et Villabé le 31 juillet, est passée le 19 novembre dernier dans l'émission Crimes et faits-divers de Jean-Marc Morandini sur NRJ12. Depuis, elle reçoit de nombreux messages. « J'ai eu une vingtaine de médiums qui m'ont contactée après cette émission pour me dire par exemple que ma fille était morte le 12 août et que son corps se trouvait à une adresse à Bezons [NDLR : Val-d'Oise]. J'y suis allée, il s'agit d'un immeuble en construction. Il n'y avait pas de corps mais que des ouvriers ».
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La ville de Grigny porte plainte contre Zemmour pour diffamation envers une collectivité publique
A partir de ce jour se tient au TGI de Paris le procès intenté par la ville de Grigny contre Eric Zemmour.
Sur l’antenne de BFMTV, le 10 novembre 2016, dans le cadre d’un débat qui l’opposait à Raphaël Glücksmann, Eric Zemmour déclare à propos de Grigny et plus particulièrement du quartier de la Grande Borne : « on a parlé de la Grande Borne à Grigny tout à l’heure, on a parlé du quartier de la Grande Borne… Qu’est-ce que c’est ? Ce n’est pas la France, c’est une contrée l’on n’est plus en France, où il y a un régime étranger qui s’impose, où la police française ne rentre plus, où la loi de la République ne s’applique plus, et où l’on est sous une loi qui mélange la loi des caïds et la loi islamique (…) »
La ville a porté plainte pour diffamation envers une administration publique.
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Le maire, dernier rempart social
Élections municipales. Après un mouvement des gilets jaunes qui a souligné une profonde crise sociale et une séquence électorale actant le divorce entre une partie des Français et leurs représentants, l’échéance de mars 2020 est-elle le bon espace pour réconcilier citoyens et politique ?
La crise de confiance dans le monde politique, mise en lumière par le mouvement des gilets jaunes à l’automne dernier, n’épargne aucun élu… ou presque. Les catégories populaires notamment, à la base de la contestation contre la hausse des taxes sur le carburant – vite élargie à la cherté de la vie, aux questions démocratiques, etc. – ne les mettent pas tous sur le même plan.
Car, si la dernière séquence, les élections européennes, a encore une fois fait la part belle au dégagisme et profité au Rassemblement national, celle qui se profile, la plus appréciée des électeurs, notamment parce qu’elle s’intéresse aux sujets du quotidien, pourrait réserver quelques surprises.